Leau et le changement climatique pdf

Lake Chad, the main water source in Central Africa is under disappearance. From 24 000 km 2 in the 1960s, the lake is no larger than 2000 km 2 today. The experts of the Intergovernmental Panel in Climate Change (IPCC) indicate that the Lake Chad region is among the most affected areas by climate change. Populations are noticing this phenomenon not only through drainage of the Lake but also through the impoverishment of environment and of decreasing rainfall. They establish a close relationship between environment changes and reduction of water resources. According to IPCC estimations, foreseeable global climate changes can be noticed through drainage of the Lake, increasing of arid conditions with significant consequences such as pressure on resources and conflicts due to water access competition. In such conditions, new adaptation strategies are unavoidable. One can observe conversion in trade, cattle breeding, joinery, followed by migration and establishment of new agricultural calendar. The purpose of this study is to analyze and initiate new approaches that allow understanding the problematic of water management which considered not only adaptation mechanism developed by populations so far, but also " endogenous " water management integrated inside communities development projects. Résumé : Le lac Tchad, principal point d'eau au coeur du continent africain est en voie de disparition. D'environ 24 000 km 2 dans les années 1960, le lac oscille de nos jours entre 2000 et 1700 km 2. Les rapports du Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC) indiquent que la région du lac Tchad compte parmi les zones les plus affectées par le changement climatique. Ainsi, les populations perçoivent ces phénomènes non seulement par l'assèchement du lac mais aussi par la dégradation de l'environnement, la baisse de la pluviométrie, etc. Elles établissent une relation entre ces transformations environnementales et la baisse des ressources en eau. Le GIEC estime qu'au niveau du bassin du Tchad, les changements climatiques globaux prévisibles devraient se traduire par un accroissement des conditions d'aridité, l'assèchement progressif du lac et la désertification poussée du bassin tchadien, ce qui par conséquent aggraverait la pression des populations sur les ressources et la multiplication des conflits d'usage de l'eau. Des situations qui ont favorisé de nouvelles stratégies d'adaptation à savoir, entre autres, la reconversion à d'autres activités (commerce, élevage, menuiserie), les migrations, le réaménagement du calendrier agricole, etc. Il y a donc lieu d'initier de nouvelles approches qui permettraient de comprendre la problématique de gestion des eaux qui prendrait en compte non seulement les mécanismes que les populations ont développés pour s'adapter à l'assèchement du lac mais aussi les mécanismes « endogènes » de gestion rationnelle des eaux afin de les intégrer dans les projets de développement communautaire.

Quelle est la relation entre le climat et l'eau ?

Le changement climatique, en causant un stress hydrique accru et des sécheresses de plus en plus importantes, impacte l'agriculture et l'élevage. L'irrégularité des saisons, les augmentations des périodes de chaleur ou la raréfaction de l'eau perturbent les cycles culturaux.

Quel est l'impact du réchauffement climatique sur l'eau ?

Le changement climatique accroît la pression sur les masses d'eau. Des inondations et sécheresses à l'acidification des océans et à l'élévation du niveau des mers, les incidences du changement climatique sur l'eau devraient s'intensifier dans les prochaines années. Ces changements suscitent des mesures en Europe.

Comment le changement climatique modifié la composition de l'eau ?

Les lacs et rivières voient la température moyenne des eaux de surface et des eaux profondes augmenter. Cette augmentation modifie l'équilibre chimique et biologique de l'eau : sa qualité diminue et impacte la quantité d'eau disponible pour la consommation humaine ainsi que les écosystèmes liés.

Quels liens Existent

L'intensité accrue des précipitations pourrait aggraver la pollution de l'eau, dans la mesure où ces précipitations emmèneraient avec elles davantage de polluants vers les aquifères souterrains, et ce d'autant plus que l'érosion associée à des précipitations intenses rend ces substances plus mobiles.